Quinze petits jours… C’est tout ce qu’il reste, avant qu’Un dollar le baril ne devienne définitivement une œuvre publique. Que je n’en contrôle plus véritablement l’existence, qu’elle soit lue par d’autres que celles et ceux jusqu’à présent choisis.

Après une deuxième quinzaine de décembre à relire les épreuves (dans une relative précipitation, merci La Poste…), il n’y a presque plus qu’à attendre, sinon quelques vœux à souhaiter, et partager la bonne nouvelle par la même occasion.

Je suis presque dans l’œil du cyclone, d’une certaine façon, ce calme avant la deuxième partie de la tempête, l’autre versant de la montagne. Il faut attendre, profiter de ce moment de répit, sans pourtant parvenir à ne pas appréhender la suite.

Et l’impatience de vérifier l’intuition première, celle née au cœur du printemps 2008. Le palier franchi dans l’écriture, le palier franchi dans les maisons d’édition, sera-t-il aussi un palier franchi auprès des lectrices et des lecteurs ? Contenir une forme d’excitation, qu’il ne m’a pas semblé avoir pour L’Affaire des Jumeaux de Bourges.

 Pendant ce temps-là, sans doute aussi pour m’occuper un peu l’esprit, je prépare mes espaces de travail pour Trois cœurs en fusion, j’apprivoise et je teste de nouveaux outils, je farfouille parmi la documentation collectée, je me remets dans le bain.

Les attentes les plus courtes ne sont pas nécessairement les plus faciles à gérer.

Et comme je n’ai pas encore eu l’occasion de le faire jusqu’à présent ici, je vous présente à tous et à toutes, pour l’année 2013, tous mes vœux de bonheur, de réussite et de santé.


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