L’hiver aura marqué la fin de la semaine dernière et une partie du week-end avec une belle et grande offensive, rendant les déplacements hasardeux.

A la belle pagaille, finalement habituelle, s’ajoute une conséquence finalement inattendue : l’imprimeur n’a pas pu livrer les exemplaires d’Un dollar de baril à l’éditeur !

Résultat des courses : la date de sortie est repoussée d’une semaine, soit le 28 janvier au lieu du 21.

Côté numérique, c’est une autre tempête qui repousse légèrement la sortie : celles de début d’année, traditionnelle, quand l’exercice précédent est terminé et qu’il faut réaliser les états annuels de vente afin de rémunérer les auteurs, et une avalanche de parution qui ont occupé les équipes.

Finalement, quelles que soient les raisons, mes deux éditeurs vont rester étonnamment synchrones…


2 commentaires

erika · 22 janvier 2013 à 14:08

Le temps va passer très vite maintenant…
Fêtez bien l’événement, Christophe!
Bien cordialement,
Erika

Christopher Selac · 23 janvier 2013 à 16:09

Merci Erika !:Une semaine, de toute façon, passe généralement très vite !

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