Les jours filent, et la vie se charge de les remplir bien plus qu’il n’en faut. La semaine dernière a été ponctuée de moments désagréables, à vous faire perdre un peu le fil de l’existence, à vous recentrer aussi sur l’essentiel, sur ce que chacun d’entre nous a de plus cher. L’occasion aussi de mettre à jour quelques définitions dans nos dictionnaires personnels, et souffrance en faisait partie.
C’est donc après une interruption momentanée des programmes, pour reprendre une expression si chère à l’audiovisuel, que j’entame une convalescence, à une semaine (probablement un peu plus pour la version numérique) de la parution d’Un dollar le baril.
La prise de recul, le retrait d’une forme d’agitation ordinaire, de ce qui finalement constitue la routine, et la limitation forcée de mes capacités de mouvement et d’action, pousseront probablement à m’interroger plus intensément sur de nombreux sujets, tous entiers gravitant autour de l’écriture.
En attendant, entre deux moments de repos indispensables, je m’emploie à vérifier que les librairies locales auront bien le roman dès la semaine prochaine, anticipe au maximum ce qui peut se préparer, rentre un peu plus en profondeur dans ma réflexion autour de Trois cœurs en fusion (j’aurai l’occasion d’y revenir, d’ici début février).
Je savais la période critique. Elle l’est désormais encore plus que je ne pouvais l’imaginer.
[pullquote align= »left » textalign= »left » width= »75% »]J’en profite pour vous signaler qu’il ne vous reste plus que quelques jours pour profiter des conditions avantageuses pour l’achat de la version papier d’Un dollar le baril, sur le site de l’éditeur, Les 2 Encres. Après le 20 janvier, il sera trop tard ![/pullquote]
2 commentaires
erika · 15 janvier 2013 à 16:28
Courage, Christopher. L’arrivée de votre livre en librairie sera certainement un moment fort et très positif.
Amicalement,
Erika
Christopher Selac · 15 janvier 2013 à 16:54
Merci pour votre soutien, Erika. Le plus difficile est passé, maintenant. Tout est question de patience, et surtout ne pas vouloir retrouver trop vite certaines facultés momentanément indisponibles.
Pour ce qui est de l’arrivée du livre, je reste confiant.
Amicalement,
Christopher