Départ

Dans les chemises grises où se mourrait l’ennui Aux souliers de béton et leurs lacets de pluie J’avais erré jadis sur ces trottoirs immondes Dans les artères rouillées d’une ville inféconde A la beauté subtile de ces géants de pierre Qui me paraissaient froids et repoussants hier De ces façades Lire la suite…