Nos aversions communes

Les dernières mélodies mourront sans doute Entre quelques soupirs une nuit du mois d’août Nous laissant divertir sous un quartier de lune De souvenirs inédits et d’aversions communes   Aveugles aux yeux bouffis de n’avoir point dormi Le matin a surpris ces vieilles rêveries Mais les nuits sont trop courtes Lire la suite…