Il vaudra mieux que j’arrête de prendre des bonnes résolutions de ce genre, comme j’en avais pris l’habitude chaque année. De ce programme, de ces annonces, je n’ai rien ou si peu respecté…

Mais c’est souvent à peu près la même chose quand nous décidons, les uns ou les autres, de nous remettre au sport, d’arrêter de fumer, de boire moins de café… Vous voyez ce que je veux dire.

Vous avez pu lire – ou surtout ne pas lire – les rares billets sur le blog cette année… 3ème roman, réseaux sociaux… Toutes les bonnes résolutions, envolées ou presque, aussi vite qu’elles étaient énoncées. L’actualité lourde de 2015 n’en aura pas été seule responsable, j’ai eu un autre projet imprévu, des aléas de la vie,…

Un dollar le baril, sans papier…

Vous aurez – vous avez toujours eu du mal – à trouver Un dollar le baril, dans sa version papier, en librairie. C’est normal, et ça risque de durer encore un petit moment, pour mon plus grand désespoir : l’éditeur Les 2 Encres a déposé le bilan (pas complètement imprévisibles, mais adieu maigres droits d’auteur) cet automne… La seule bonne nouvelle : j’ai récupéré l’intégralité des droits papier et dérivés. Charge à moi désormais de trouver d’autres solutions (hors numérique) pour vous permettre de vous procurer l’œuvre. Pour les lecteurs et les lectrices futures que cela intéresse, vous pouvez toujours vous adresser directement à moi, il m’en reste encore quelques exemplaires de cette première édition. J’espère pouvoir vous annoncer une renaissance dans le courant de l’année, pour que ce roman ait enfin le destin qui aurait dû être le sien…

L’Affaire des Jumeaux de Bourges, entre parenthèses ?

Si vous le cherchez en ce moment en librairie ou même en numérique – comme pendant une bonne partie de cette année 2015 -, vous éprouvez aussi les pires difficultés. Au point peut-être de vous demander si l’œuvre n’a pas définitivement disparue.
Rassurez-vous, mon éditeur pour ce premier roman, La Bouinotte, est une petite maison d’édition avec des moyens limités. Difficile pour eux de retirer des exemplaires de l’édition poche, quasiment épuisée depuis plusieurs mois, pour satisfaire une demande toujours vive. Espérons que ce soit bientôt résolu.
Côté numérique, ils sont aussi en train de changer de partenaire, ce qui explique que le titre ne soit plus disponible non plus. J’ai bon espoir là aussi que ce soit vite rétabli.

Les amants du marais

J’ai normalement en peu de temps devant moi les quatre prochains mois… Assez pour boucler un premier jet. A suivre ici même. Je ne vous en dis pas plus, sinon que Désirée Martin est au sommet de sa forme (d’une certaine façon).

Le blog et le reste

Avec un an de retard, je mets en œuvre mon petit programme. Je ne vais donc pas vous promettre grand chose pour 2016, sinon de vous tenir un peu plus au courant que je n’ai pu le faire ces douze derniers mois. Rien de plus. Pas de faux espoirs, pas de culpabilité à ne pas tenir tel ou tel engagement. Juste le plaisir de nous retrouver, d’échanger, d’avoir des interactions avec la communauté de mes lecteurs et de mes lectrices (s’ils existent). Existez-vous ? Prouvez-le moi en 2016 😉

De cette façon, peut-être beaucoup de bonnes surprises à la clé.

Je n’ai pas eu l’occasion de vous souhaiter de bonnes fêtes de fin d’année, mais je vous souhaite une excellente année à toutes et à tous, avec beaucoup de bonheurs y compris littéraires.

A très bientôt,On the rebound par Neal Fowler


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