binoculars, par Edith Soto

 

Ne me cherchez pas. Je suis dans l’absence. L’été finalement n’est venu qu’en septembre. Avec un nouveau rythme. Avec des promesses. Avec des projets.

Tempus fugit. Pour l’instant, celui de l’écriture est phagocyté par tout ce qui s’installe, paradoxalement par et pour l’écriture. L’affaire de quelques semaines seulement, l’impatience qui grandit, les réseaux capillaires de l’inspiration, microsillons tracés insidieusement, se chargent, se dilatent, s’épandent. Et déborderont vite.

A moi bientôt l’horizon d’heures que rien ne dérange. Face à ces vieux amis trop longtemps délaissés, et dont le destin qui se précise connaîtra de bien tristes tournures. Bientôt… bientôt…


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