Welcome to Norfolk Island par Steve Daggar

Je me suis fait rare, depuis quelques mois, sans prendre personne au dépourvu. Ce retrait tout relatif n’empêche en rien de donner des nouvelles de temps à autre, de loin en loin. L’exercice de la carte postale est peut-être désuet, dévoyé parfois tant il s’emploie dans tous domaines jusqu’à l’abus. Pourtant, vous me manquez, plus sans doute que je ne vous manque.

Ces trois derniers mois sont passés extrêmement vite, d’autant plus que des imprévus sont venus nombreux perturber ou différer les bonnes résolutions (2014 était une année à cerises, entre autres). J’éprouve donc aussi une petite culpabilité à ne pas toujours faire le nécessaire pour revenir plus vite.

Mais ne soyons pas trop négatifs : ce début d’été apporte avec lui les fruits de travaux menés depuis quelques années et pourraient voir se concrétiser des changements espérés depuis longtemps et auxquels j’avais mollement fini par renoncer. Un tweet isolé et elliptique pouvait vous le laisser penser encore dernièrement :

L’automne qui vient sera dense, je vous en reparlerai , avec de nouvelles expériences à la clé qui me rapprocheront de l’écriture. Par des voies pas tout à fait naturelles pour qui projette un roman, mais là encore, c’est tout un futur qui se prépare.

J’y apprendrai beaucoup (même si ce ne sera probablement pas mon rôle initial dans cette nouvelle aventure). L’hiver qui suivra devrait riche de temps d’écriture. La patience est une vertu que nous devrons cultiver ensemble.

A très bientôt donc !

PS : je ne peux pas retourner à mes atermoiements sans vous signaler le lancement du site Internet dédié à la collection de romans policiers BlackBerry par La Bouinotte, éditeur de mon premier roman  L’affaire des Jumeaux de Bourges. Un site qui devrait croître en contenu dans les mois et les semaines qui viennent, et donc à surveiller de près.


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